la paix du cœur
Se centrer n’est pas un processus mental, mais un déplacement de la conscience en notre véritable centre, en notre cœur. En sanctuarisant le territoire de notre cœur, nous y retrouverons les valeurs nées du sacré : la paix, l’amour, la joie, la contemplation, l’acceptation. Et alors nous pouvons regarder les tracas de la périphérie depuis la sérénité du centre.
« Je me recentre en mon temple intérieur. »
- Périphérie intérieure mouvementée
- Au centre de notre être, une paix infinie
- Périphérie extérieure mouvementée
Les émotions intenses, les pensées obsédantes peuvent nous faire perde la tête. C’est pourquoi on se réfugie dans le cœur.
L’agitation du monde extérieur et son cortège d’informations à une vitesse trop rapide pour notre rythme naturel, est un piège à angoisse.
Dans l’œil du cyclone
Le cyclone souffle à des centaines de km/h et pourtant en son centre, dans l’œil du cyclone se trouve des vents calmes et un temps beaucoup plus clément.
Tout comme le cyclone, lorsque nous sommes pris dans une tempête intérieure, il s’agit de se centrer, d’observer, de s’attacher au centre et de se détacher de tout ce qui nous entraîne dans la périphérie.
Ainsi, nous pouvons même accueillir nos turbulences en notre centre, et les calmer, comme une mère console son enfant.
Retour à l’essentiel
Parfois nous nous perdons dans les détails, et dans le superficiel. En retournant à notre cœur, à l’essentiel, aux vraies valeurs, à l’amour, à Dieu, on retrouve le sens. C’est également retourner à la nature, à un rythme plus lent, adapté au battement de notre cœur.
– Article « Se centrer dans le cœur pour être soi-même »
– Article « Sortir de l’impasse mentale »