Cycles de vie
La mort de la chenille est la naissance du papillon. Et la mort de la fleur est la naissance de la graine.
La mort et la naissance sont étroitement liée. Elles sont deux étapes différentes d’un même flux. Et c’est au début de l’hiver le 25 décembre, que né le retour de l’été.
« J’accepte ce qui doit mourir. La vie est un flux. Le refuser est source de souffrance. »
- Gestation-Naissance
- Le flux de la Vie
- Mort-Gestation
Accepter la mort
Refuser la mort, c’est faire grandir la souffrance en soi. C’est parce que Anakin a refusé la mort de sa mère et de sa femme, qu’il a tourné du côté obscur de la force dans Star Wars. Ainsi, seule la temporaire douloureuse acceptation va dans le sens de la vie.
Que dois-je accepter de laisser partir ?
Le flux de la vie, la permanence de l’impermanence
La vie est un flux infini, en permanence renouvelé. Comme disait Héraclite, on ne se baigne jamais deux fois dans la même rivière. S’attacher à recréer les mêmes conditions qu’au passé mène à la souffrance. C’est comme nager à contre courant.
La répétition malheureuse
Et pourtant, parfois, nous avons l’impression que la vie se répète désagréablement. Tout simplement parce que nous cultivons les mêmes graines qui nous amènent aux mêmes récoltes. Nous avons alors juste à changer les graines, troquer les semences de l’autodestruction pour des semences d’amour inconditionnel. La naissance du nouveau passe par la transmutation du passé.
Quelles nouvelles graines puis-je cultiver pour obtenir de nouvelles récoltes favorables dans ma vie ?
Célébrer la naissance
À la mort de la gestation, survient la naissance. Célébrons l’achèvement de ce long processus. Aux longs efforts succèdent le réconfort.
Quelle naissance puis-je célébrer ?
– Article « Tout est Impermanent »
– Article « La puissance de l’acceptation »