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Nourrir le positif pour rester souverain

On est ce que l’on nourrit

On est ce que l’on mange et ce que l’on nourrit à l’intérieur de soi. En conséquence nourrir le positif est une belle d’amour pour nous-même. Nous nourrissons notre corps d’une alimentation positive ou « négative », d’une hygiène de vie positive ou « négative ». Notre mental s’alimente d’informations positives ou « négatives ». On nourrit nos émotions positives ou « négatives ». On nourrit nos qualités ou nos défauts.

Mais comme vu dans les lois énergétiques, toute énergie négative voudra nous garder sous sa coupe, voilà pourquoi, il est nécessaire d’être déterminé à nourrir le positif pour demeurer libre et souverain.

On ne passe pas du négatif au positif d’un seul fait.

Le flux de la vie sera toujours, dans la dualité, polarisé. C’est pourquoi l’idéal est d’accepter le négatif, inévitable, et de nourrir le positif, autant qu’on peut :

L’espoir, l’optimisme, la confiance, la joie, le bonheur, l’humour, la détermination, l’amour…

Ces énergies-mémoires sont comme des tamagotchis. Il faut leur donner à manger régulièrement, pour qu’elles vivent en nous.

Comment nourrir le positif ?

On a plusieurs émetteurs-récepteurs de flux d’énergie en nous.

L’attention, le focus – se concentrer sûr : Porter attention lorsque nous observons ces qualités en nous ou chez les autres, les alimentent.

La pensée : Repenser et se souvenir de mémoires positives, alimentent ces énergies.

La parole : Faire des compliments pour nous-même et pour les autres, ainsi que d’utiliser un vocabulaire résolument positif, alimentent ces énergies.

Les sentiments : Se donner du temps pour accueillir et ressentir ces énergies les alimentent.

Les actions : Déployer dans la matière des actions concrètes positives, les alimentent.

Les énergies-mémoires négatives du passé, que vous ne nourrissez plus, vont venir réclamer à manger quelque fois, avant de disparaître. C’est pourquoi, il faut user de détermination de rester positif, et de la répétition pour garder un cap positif.

La puissance des mots

Comme tout, les mots ont une vibration polarisée, positif ou négatif.

La puissance des mots vient de l’interprétation de l’inconscient. En effet, ce dernier a la particularité de ne pas entendre la négation.

L’exemple classique est celui de demander : « De ne pas penser à un éléphant rose ». Malgré tous nos efforts, on ne peut y échapper, il sera dans notre pensée. À partir du moment que le mot est prononcé, il existe concrètement.

Autre exemple de l’importance du bon choix des mots. En ce moment, en pleine crise de Coronavirus, à la télé, le gouvernement répète, en boucle « ne paniquez pas », 40 fois par jour. L’inconscient, lui, entend « paniquez », 40 fois par jour. Avec la puissance de la répétition, cela donne des magasins dévalisés alors même que la chaîne logistique suit son cours normal. La bonne approche aurait été de dire « Gardez confiance dans notre système de santé. »

Il y a tout un « travail » à tourner nos phrases négatives en positives. Cela peut sembler dérisoire, pourtant, la répétition donne naissance à de nouvelles habitudes bénéfiques.

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